Le procureur Pierre Aubert insulte officiellement les 174 femmes peules qui accusent son administration de corruption:
Éh oui, du coté de la Suisse on apprend encore un peu plus sur la rocambolesque affaire des 174 femmes peules du Sahel, à Bardial dans le nord du Sénégal, a savoir leurs champs de moringal asséchées par le gouvernement Suisse qui sans raison valable a bloqué les comptes de la fondation Bioniria qui finançait l’irrigation de leur oasis, leur or verte dans le Sahel comme elles ont l’habitude de le dire.
Par conséquence les femmes avaient adressé une lettre à la Présidence de la Confédération Helvétique ainsi qu’au Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés et au Ministre des Affaires Etrangères suisses, demandent réparation officielle à la Confédération Helvétique pour des dommages graves causés par la corruption présumée d’une de ses administrations.
Interrogé sur ces accusations par le journaliste de la RTS Ludovic Rocchi aussi complice que lui. Le procureur incriminé, Pierre Aubert, a répondu officiellement qu’il considérait les 174 femmes peules comme une "fantaisie". Selon sa réponse officielle devant greffier, ou elles n’existeraient pas, ou elles ne seraient pas responsables de leurs actes.
Informé de cette reponse, Le mouvement du 22 Septembre qui compte à son sein les 174 femmes peules qualifie la reponse du procureur Pierre Aubert d’irrespectueuse voir même raciste envers la communauté Peule de Bardial.
Affaire à suivre.